Les fausses agressions antisemites se multiplient (video)
L'agression du rabbin Fahri
Version initiale :
M. le rabbin Gabriel Farhi, vient d'être victime d'une agression antisémite dans sa synagogue du XIe arrondissement de Paris.
Il a été sérieusement blessé d'un coup de couteau.
L'auteur,un agresseur casqué, a pris la fuite au cri de "Allah ou' Akbar" .
Les faits tels que constatés :
Dans sa synagogue, située 23 rue Piéton dans le 11ème arrondissement, le rabbin Gabriel Fahri a été agressé vendredi 3 janvier à l’arme blanche. Transféré à l’hôpital St Antoine en urgence, il est sorti le soir même, il a une blessure étalée mais peu profonde.
L’agression est survenue vers 16 h 30, peu avant le début de l’office du shabbat prévu à 18h30, alors seul à ce moment dans la synagogue.
Il déclare « Quelqu'un a sonné à la porte. J'ai ouvert, un homme un peu plus petit que moi - environ 1,75 mètre -, la tête couverte d'un casque de moto intégral avec la visière opaque rabaissée a prononcé "Allahou Akbar" -Dieu est grand- et m'a donné un coup de couteau. Son accent était très français ».
Gabriel Fahri a précisé, en outre, avoir reçu des menaces le matin même de l’agression « avec des références au djihad et à la guerre contre tous les ennemis des Palestiniens ».
Le battage médiatique :
Suite à l'agression ,des assemblées de prière sont organisées à la synagogue du XVème.
On y retrouve "du beau monde",et entr'autres :
. Bertrand Delanoë, le Maire de Paris,
. Le Ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy,
. Quatre anciens Premiers ministres : Edouard Balladur, Alain Juppé, Laurent Fabius, et Lionel Jospin.
. Jack Lang,
. Le chanteur Guy Béart
. L'archevêque de Paris Mgr Jean-Marie Lustiger,
. Le recteur de la Mosquée de Paris Dalil Boubakeur
Le rapport de la brigade criminelle :
Le rapport de la brigade criminelle sur l'agression le 3 janvier dans sa synagogue du rabbin Gabriel Fahri, responsable du mouvement juif libéral de France, est arrivée fin juillet sur le bureau de la juge Marie-Antoinette Houyvet.
Les conclusions sont accablantes:...
Version initiale :
M. le rabbin Gabriel Farhi, vient d'être victime d'une agression antisémite dans sa synagogue du XIe arrondissement de Paris.
Il a été sérieusement blessé d'un coup de couteau.
L'auteur,un agresseur casqué, a pris la fuite au cri de "Allah ou' Akbar" .
Les faits tels que constatés :
Dans sa synagogue, située 23 rue Piéton dans le 11ème arrondissement, le rabbin Gabriel Fahri a été agressé vendredi 3 janvier à l’arme blanche. Transféré à l’hôpital St Antoine en urgence, il est sorti le soir même, il a une blessure étalée mais peu profonde.
L’agression est survenue vers 16 h 30, peu avant le début de l’office du shabbat prévu à 18h30, alors seul à ce moment dans la synagogue.
Il déclare « Quelqu'un a sonné à la porte. J'ai ouvert, un homme un peu plus petit que moi - environ 1,75 mètre -, la tête couverte d'un casque de moto intégral avec la visière opaque rabaissée a prononcé "Allahou Akbar" -Dieu est grand- et m'a donné un coup de couteau. Son accent était très français ».
Gabriel Fahri a précisé, en outre, avoir reçu des menaces le matin même de l’agression « avec des références au djihad et à la guerre contre tous les ennemis des Palestiniens ».
Le battage médiatique :
Suite à l'agression ,des assemblées de prière sont organisées à la synagogue du XVème.
On y retrouve "du beau monde",et entr'autres :
. Bertrand Delanoë, le Maire de Paris,
. Le Ministre de l'intérieur, Nicolas Sarkozy,
. Quatre anciens Premiers ministres : Edouard Balladur, Alain Juppé, Laurent Fabius, et Lionel Jospin.
. Jack Lang,
. Le chanteur Guy Béart
. L'archevêque de Paris Mgr Jean-Marie Lustiger,
. Le recteur de la Mosquée de Paris Dalil Boubakeur
Le rapport de la brigade criminelle :
Le rapport de la brigade criminelle sur l'agression le 3 janvier dans sa synagogue du rabbin Gabriel Fahri, responsable du mouvement juif libéral de France, est arrivée fin juillet sur le bureau de la juge Marie-Antoinette Houyvet.
Les conclusions sont accablantes:...
1° Les vêtements : l'expert spécialisé dans le textile s'oriente vers la piste de l'automutilation,car l'agression racontée par la victime ne correspond pas aux déchirures constatées sur sa chemise.
2° L'arme du crime : le couteau, un "Laguiole" de table qui ne se replie pas,est identique à un lot de six couteaux offerts par un des membres du Mouvement juif libéral de France à la synagogue où officiait le religieux,et les cinq autres couteaux ont disparu.
3° les lettres de menace : L'étude graphologique des "lettres de menace", a permis de remonter jusqu'au corbeau ;c'est un des membres du mouvement juif libéral de France, mouvement dirigé par le rabbin Fahri. Le suspect été entendu et a nié.
Alex Moïse le lyncheur de Dieudonné s'envoyait
des messages antisémites à lui-même pour porter plainte !
jeudi 6 mai 2004
Le trublion Axel Moïse, qui s'était publiquement flatté, ces derniers mois, d'avoir obtenu l'annulation de plusieurs spectacles de Dieudonné, en multipliant les menaces contre l'humoriste, vient d'être condamné par le tribunal correctionnel de Paris, pour .. fabrication de messages antisémites adressés à lui-même !
La 17ème chambre du tribunal correctionnel de Paris l'a ainsi condamné à une amende de 750 euros.
Axel Moïse revendique haut et fort ses responsabilités au Likoud de France, ainsi qu'à la Fédération Sioniste de France (et non à la Fédération des Organisations Sionistes de France,détail qui a son importance car les deux associations non seulement ne sont ^pas les mêmes ,mais aussi semblent se quereller,puisqu'ells se retrouvent devant les tribunaux ...
Axel Moïse a connu son « heure de gloire », en invitant publiquement ses ouailles à menacer les loueurs de salle de spectacles ayant mis Dieudonné à l'affiche.
Ces menaces ont notamment été suivies de passage à l'acte à Lyon, où des voyous ont tenté de saboter le spectacle de Dieudonné aux cris de « Dieudo, Négro, les Juifs auront ta peau ».
L'un des assaillants, un certain Michel Bensoussan, avait jeté un engin incendiaire dans la salle, blessant une enfant de 13 ans.
Alex Moïse a participé à une émission de télévision, et multiplié les déclarations dans la presse.
Dans la foulée, il s'est rendu au commissariat de police, pour se plaindre des menaces et injures antisémites qu'il disait avoir reçues à son domicile,mais les investigations policières ont assez rapidement montré que le dossier était bancal.
Interrogé, Moïse a vite été confondu, et a avoué qu'il était lui-même l'auteur des messages en question.
Les poursuites ont alors été engagées, qui ont connu leur épilogue mardi.
TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS
17ème Chambre .
Audience du 9 mars 2004
PCM : Il convient de condamner à la peine de 2 mois d'emprisonnement, intégralement assortie du sursis ainsi qu'au paiement de 750 € d'amende ;
Déclare A. MOISE coupable de dénonciation mensongère à une autorité judiciaire ou administrative entraînant des recherches inutiles.
La fausse agression du RER-D
Une jeune femme se plaint d'une agression "raciste" et antisémite dans le RER .
Ses déclarations présentent des incohérences, et son passé ne plaide pas pour elle .
Nous sommes un vendredi,et ce sont les vacances .
De nombreux "responsables" sont injoignables,et l'actualité est creuse .
Il est impossible de recouper les informations en quelques heures .
L'affaire tombe "on ne peut mieux" pour "certains" : le sujet est "porteur",les "ténors" ne sont pas là, l'actualité est "creuse" ,l'indignation est "légitime" ,le sujet est "facile" et "sans danger " ...
Une histoire qui devait au départ rester strictement "intrafamiliale, prend un superbe envol politique et médiatique ....
Les incohérences de son récit la traillissent ... Elle avoue ... Une perquisition à son domicile confirme ses aveux .
Cette jeune femme,psychologiquement dérangée (un psychiatre prétend néanmoins le contraire ...) n'est liée à aucune association ,ni à aucun mouvement politique particulier .
Elle a agit "seule",sans aide extérieure et sans conseils extérieurs,mais son histoire est tellement bien montée qu'elle va ravir bien des gens .
Pour commencer, les “néonazis”( fantômes ) sont « d’origine maghrébine », caractéristique " idéale" pour dégager la responsabilité de la « collectivité nationale »...
D'un fait divers (par ailleurs entièrement inventé),on en arrivera selon les horizons politiques et sociaux de chaque interlocuteur aux condamnations de :
. les "maghrébins" ,allègrement associés aux antisémites .
. les "voyous de banlieue" à la sauce de droite :"la carrence de la justice et de la police" .
. les mêmes "voyous de banlieue" mais à la sauce de gauche : "les ghettos sociaux des cités défavorisées" .
Ce qui est effrayant dans cette affaire est de voir comment un fait divers peut en l'espace de quelques jours remplir complètement l'espace politique et médiatique sans qu'aucune vérification ne soit faite par des gens qu'il convient pourtant d'appeler "responsables" ...
Faux incendie d'un centre social juif.
PARIS (AP) - Dix jours après l'incendie du centre social juif de la rue Popincourt (XIe arrondissement) à Paris, Raphaël Benmoha, un homme de confession juive âgé de 52 ans, a été mis en examen mercredi soir par un juge d'instruction parisien et écroué pour avoir mis le feu à l'immeuble.
Raphaël Benmoha, qui a nié les faits tout au long des 48 heures de garde à vue à la brigade criminelle, est désormais poursuivi pour "destruction de biens appartenant à autrui par l'effet d'un incendie de nature à créer un danger pour des personnes".
Raphaël Benmoha était en passe d'être expulsé d'un studio qui lui avait été prêté par le biais «d'un rabbin» .
Le «nécessiteux» de confession juive qui prenait ses repas casher gratuitement au centre social et rendait de menus services, fulminait contre «les rabbins» et se serait vengé par le feu.
L'homme qualifié de «benêt» nie en bloc.
On relève à son encontre des faits "troublants" :
a) le double des clés du local a été découvert chez lui (alors qu'il ne devait pas posséder ses clefs),
b) son écriture ressemble à celle laissée sur les lieux,
c) le marqueur noir trouvé dans ses affaires présente les mêmes défauts que le feutre ayant servi à tracer les inscriptions sur les murs.
d) l'encre du marqueur est la même que celle servant dans le centre .
Une information judiciaire a été ouverte dans l'après-midi et confiée au juge Marc Sommerer.
Le caractère antisémite de l'action n'a pas été retenu par le parquet, l'auteur de l'incendie encourt donc dix ans de prison.
Le suspect se serait inspiré d'un épisode de la série télévisée "PJ" tourné l'an dernier au centre de la rue Popincourt.
Cet épisode, qui n'a pas été diffusé dans un contexte tendu à la demande de la communauté juive, montre un feu dans le centre social juif provoqué par un employé licencié,ce qui était pratiquement son cas : il n'était pas licencié (puisqu'il ne travaillait pas au centre),mais était sur le point de devoir remettre son logement social au centre .
Jacques Chirac avait fermement condamné cet acte.
Le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, ainsi que le ministre israélien des Affaires étrangères Silvan Shalom, s'étaient rendus sur les lieux.
Le président du Consistoire israélite Moïse Cohen a appelé mardi la classe politique et les dirigeants de la communauté juive à prendre un "minimum de précautions" avant de condamner des "actes faussement antisémites". AP
Affaire du jeune juif agressé par une bande d'afro et de maghrebins :
Le centre Simon Wiesenthal a qualifié lundi d’« affaire d’Etat » l’agression samedi à Paris d’un jeune juif, en estimant qu’elle était liée à la politique de la France au Moyen Orient.
Le centre Wiesenthal a indiqué dans un communiqué avoir adressé une lettre « de vigoureuse protestation » au Premier ministre François Fillon pour condamner cette agression.
« Il aurait été normal de faire part de notre inquiétude au ministre de l’Intérieur, mais nous pensons que la racine de la haine anti-juive en France est liée à la politique française au Moyen Orient et constitue en conséquence une affaire d’Etat », poursuit le texte.
Battage médiatique, pleurnicherie habituel de toutes les associations juives, condamnation de l'acte par toute la classe politique, la presse, la radio, la television ont sortie les mouchoirs.... mais la realité est tout autre. le jeune juif, fait partie du groupe fasciste BETAR, armé et avec ses amis non moins nazillon, se sont precipitéq pour faire une ratonnade. malheureusement pour lui, il s'est fait accueillir et ses copains nazillon l'on laissé aux mains de leur adversaires... regardez donc le temoignage frappant d'un observateur.
>
2° L'arme du crime : le couteau, un "Laguiole" de table qui ne se replie pas,est identique à un lot de six couteaux offerts par un des membres du Mouvement juif libéral de France à la synagogue où officiait le religieux,et les cinq autres couteaux ont disparu.
3° les lettres de menace : L'étude graphologique des "lettres de menace", a permis de remonter jusqu'au corbeau ;c'est un des membres du mouvement juif libéral de France, mouvement dirigé par le rabbin Fahri. Le suspect été entendu et a nié.
Alex Moïse le lyncheur de Dieudonné s'envoyait
des messages antisémites à lui-même pour porter plainte !
jeudi 6 mai 2004
Le trublion Axel Moïse, qui s'était publiquement flatté, ces derniers mois, d'avoir obtenu l'annulation de plusieurs spectacles de Dieudonné, en multipliant les menaces contre l'humoriste, vient d'être condamné par le tribunal correctionnel de Paris, pour .. fabrication de messages antisémites adressés à lui-même !
La 17ème chambre du tribunal correctionnel de Paris l'a ainsi condamné à une amende de 750 euros.
Axel Moïse revendique haut et fort ses responsabilités au Likoud de France, ainsi qu'à la Fédération Sioniste de France (et non à la Fédération des Organisations Sionistes de France,détail qui a son importance car les deux associations non seulement ne sont ^pas les mêmes ,mais aussi semblent se quereller,puisqu'ells se retrouvent devant les tribunaux ...
Axel Moïse a connu son « heure de gloire », en invitant publiquement ses ouailles à menacer les loueurs de salle de spectacles ayant mis Dieudonné à l'affiche.
Ces menaces ont notamment été suivies de passage à l'acte à Lyon, où des voyous ont tenté de saboter le spectacle de Dieudonné aux cris de « Dieudo, Négro, les Juifs auront ta peau ».
L'un des assaillants, un certain Michel Bensoussan, avait jeté un engin incendiaire dans la salle, blessant une enfant de 13 ans.
Alex Moïse a participé à une émission de télévision, et multiplié les déclarations dans la presse.
Dans la foulée, il s'est rendu au commissariat de police, pour se plaindre des menaces et injures antisémites qu'il disait avoir reçues à son domicile,mais les investigations policières ont assez rapidement montré que le dossier était bancal.
Interrogé, Moïse a vite été confondu, et a avoué qu'il était lui-même l'auteur des messages en question.
Les poursuites ont alors été engagées, qui ont connu leur épilogue mardi.
TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE DE PARIS
17ème Chambre .
Audience du 9 mars 2004
PCM : Il convient de condamner à la peine de 2 mois d'emprisonnement, intégralement assortie du sursis ainsi qu'au paiement de 750 € d'amende ;
Déclare A. MOISE coupable de dénonciation mensongère à une autorité judiciaire ou administrative entraînant des recherches inutiles.
La fausse agression du RER-D
Une jeune femme se plaint d'une agression "raciste" et antisémite dans le RER .
Ses déclarations présentent des incohérences, et son passé ne plaide pas pour elle .
Nous sommes un vendredi,et ce sont les vacances .
De nombreux "responsables" sont injoignables,et l'actualité est creuse .
Il est impossible de recouper les informations en quelques heures .
L'affaire tombe "on ne peut mieux" pour "certains" : le sujet est "porteur",les "ténors" ne sont pas là, l'actualité est "creuse" ,l'indignation est "légitime" ,le sujet est "facile" et "sans danger " ...
Une histoire qui devait au départ rester strictement "intrafamiliale, prend un superbe envol politique et médiatique ....
Les incohérences de son récit la traillissent ... Elle avoue ... Une perquisition à son domicile confirme ses aveux .
Cette jeune femme,psychologiquement dérangée (un psychiatre prétend néanmoins le contraire ...) n'est liée à aucune association ,ni à aucun mouvement politique particulier .
Elle a agit "seule",sans aide extérieure et sans conseils extérieurs,mais son histoire est tellement bien montée qu'elle va ravir bien des gens .
Pour commencer, les “néonazis”( fantômes ) sont « d’origine maghrébine », caractéristique " idéale" pour dégager la responsabilité de la « collectivité nationale »...
D'un fait divers (par ailleurs entièrement inventé),on en arrivera selon les horizons politiques et sociaux de chaque interlocuteur aux condamnations de :
. les "maghrébins" ,allègrement associés aux antisémites .
. les "voyous de banlieue" à la sauce de droite :"la carrence de la justice et de la police" .
. les mêmes "voyous de banlieue" mais à la sauce de gauche : "les ghettos sociaux des cités défavorisées" .
Ce qui est effrayant dans cette affaire est de voir comment un fait divers peut en l'espace de quelques jours remplir complètement l'espace politique et médiatique sans qu'aucune vérification ne soit faite par des gens qu'il convient pourtant d'appeler "responsables" ...
Faux incendie d'un centre social juif.
PARIS (AP) - Dix jours après l'incendie du centre social juif de la rue Popincourt (XIe arrondissement) à Paris, Raphaël Benmoha, un homme de confession juive âgé de 52 ans, a été mis en examen mercredi soir par un juge d'instruction parisien et écroué pour avoir mis le feu à l'immeuble.
Raphaël Benmoha, qui a nié les faits tout au long des 48 heures de garde à vue à la brigade criminelle, est désormais poursuivi pour "destruction de biens appartenant à autrui par l'effet d'un incendie de nature à créer un danger pour des personnes".
Raphaël Benmoha était en passe d'être expulsé d'un studio qui lui avait été prêté par le biais «d'un rabbin» .
Le «nécessiteux» de confession juive qui prenait ses repas casher gratuitement au centre social et rendait de menus services, fulminait contre «les rabbins» et se serait vengé par le feu.
L'homme qualifié de «benêt» nie en bloc.
On relève à son encontre des faits "troublants" :
a) le double des clés du local a été découvert chez lui (alors qu'il ne devait pas posséder ses clefs),
b) son écriture ressemble à celle laissée sur les lieux,
c) le marqueur noir trouvé dans ses affaires présente les mêmes défauts que le feutre ayant servi à tracer les inscriptions sur les murs.
d) l'encre du marqueur est la même que celle servant dans le centre .
Une information judiciaire a été ouverte dans l'après-midi et confiée au juge Marc Sommerer.
Le caractère antisémite de l'action n'a pas été retenu par le parquet, l'auteur de l'incendie encourt donc dix ans de prison.
Le suspect se serait inspiré d'un épisode de la série télévisée "PJ" tourné l'an dernier au centre de la rue Popincourt.
Cet épisode, qui n'a pas été diffusé dans un contexte tendu à la demande de la communauté juive, montre un feu dans le centre social juif provoqué par un employé licencié,ce qui était pratiquement son cas : il n'était pas licencié (puisqu'il ne travaillait pas au centre),mais était sur le point de devoir remettre son logement social au centre .
Jacques Chirac avait fermement condamné cet acte.
Le Premier ministre Jean-Pierre Raffarin, ainsi que le ministre israélien des Affaires étrangères Silvan Shalom, s'étaient rendus sur les lieux.
Le président du Consistoire israélite Moïse Cohen a appelé mardi la classe politique et les dirigeants de la communauté juive à prendre un "minimum de précautions" avant de condamner des "actes faussement antisémites". AP
Affaire du jeune juif agressé par une bande d'afro et de maghrebins :
Le centre Simon Wiesenthal a qualifié lundi d’« affaire d’Etat » l’agression samedi à Paris d’un jeune juif, en estimant qu’elle était liée à la politique de la France au Moyen Orient.
Le centre Wiesenthal a indiqué dans un communiqué avoir adressé une lettre « de vigoureuse protestation » au Premier ministre François Fillon pour condamner cette agression.
« Il aurait été normal de faire part de notre inquiétude au ministre de l’Intérieur, mais nous pensons que la racine de la haine anti-juive en France est liée à la politique française au Moyen Orient et constitue en conséquence une affaire d’Etat », poursuit le texte.
Battage médiatique, pleurnicherie habituel de toutes les associations juives, condamnation de l'acte par toute la classe politique, la presse, la radio, la television ont sortie les mouchoirs.... mais la realité est tout autre. le jeune juif, fait partie du groupe fasciste BETAR, armé et avec ses amis non moins nazillon, se sont precipitéq pour faire une ratonnade. malheureusement pour lui, il s'est fait accueillir et ses copains nazillon l'on laissé aux mains de leur adversaires... regardez donc le temoignage frappant d'un observateur.
envoyé par labanlieuesex
0 Participations:
Enregistrer un commentaire