Les crucificateurs de Jésus sont de retour a Ghaza .

Drame à l'accouchement: "Il faut que l'hôpital arrête de mentir"

Ce soir, cher amis, nous allons voir comment le mensonge peut prendre de multiples visages. Pour ne pas se discréditer lors d’un accouchement ou l’enfant est né mutilé, les médecins ont accusé le père de les avoir empêché d’intervenir au nom de l’islam. La famille, interviewé par lepost.fr, dénonce le mensonge et les faux témoignages pour couvrir la lourde faute.

Cette propagande, prétexte a tous les délits et les délires d’ignorants mal intentionnés, est utilisée dans tous les domaines de la société. Pour ceux qui ne maitrisent pas l’islam, il faut savoir que le médecin ne sera jamais empêché d’intervenir pour sauver une femme, une épouse ou une fille. C’est pour le bien de la femme et dans ce cas pour le bien aussi de l’enfant. l'islam est tres clair sur le point qui nous intéresse.

Et pour preuve, les premiers médecins musulmans étaient des hommes et donc intervenaient pendant les accouchements, les opérations, pour les consultations et les interventions bénignes. Ceci depuis le début de l’islam. Rien n’interdit un homme médecin, surtout dans le cas d’un accouchement difficile, d’intervenir au nom d’un islam orthodoxe. C’est faux....

Selon mon expérience, et le manque de professionnalisme souvent observé les jours de dimanche, ce médecin a refusé jusqu'à au dernier moment de faire une césarienne pour extraire l’enfant. Parce qu’il faut préparer la salle, (et ce qui fait que le père ne peut etre présent) parce qu’il faut toute une équipe, et surtout l’anesthésiste…l’enfant n’arrivant pas a sortir les épaules, il a forcé avec les forceps et a exigé a la sage femme de monter sur le ventre de la femme pour aider a extraire.

En tirant comme un malade sur la tête (la tête n’est pas indéfiniment extensible), et en brisant ses épaules, l’enfant est arrivé forcement handicapé. Je vous laisse lire l’indignation de la famille….

Info Le Post. Le père de Mohammed, né handicapé à Bourg-en-Bresse en 1998, dément sur Le Post avoir empêché tout médecin homme d'approcher sa femme au nom de l'islam.

Hier, quand elle a entendu aux infos que la justice demandait 1.000 euros à son mari pour avoir refusé l'intervention d'un médecin homme à l'hôpital de Bourg-en-Bresse, le 8 novembre 1998, quand elle a mis au monde son 4ème fils Mohammed, Karima Ijjou s'est effondrée: "J'ai pleuré tout de suite, j'y croyais pas. Pourquoi ils mentent? Pourquoi ils cachent la vérité?" Et elle pleure.

La décision de justice a créé la polémique. C'est selon elle au nom de l'islam que M. Ijjou s'est physiquement opposé à l'intervention d'un médecin homme. De là aurait découlé l'accouchement au forceps, et le handicap de l'enfant.

Pour l'avocate de M. Ijjou Isabelle Damiano, c'est "la parole des uns contre celle des autres."

Karima Ijjou, la mère, répond au Post.

Que pensez-vous de cette décision?
"Je ne suis pas d'accord. Ce n'est pas notre faute. C'est terrible."

Votre mari a-t-il refusé qu'un médecin homme vous soigne?
"Jamais. Il n'a jamais fermé la porte, comme ils disent. Ce n'est pas possible. Il me voyait souffrir et aurait empêché un médecin de m'aider? C'est quoi ça? La religion ne nous oblige quand même pas à ça! Dans un cas comme ça, c'est comme quand on enlève son voile pour une carte d'identité, c'est obligatoire, on discute pas."

Que s'est-il passé?
"Je voulais une césarienne. Ils m'ont dit que c'était trop tard. Mon mari a essayé de convaincre le médecin qui disait aussi que c'était trop tard, que c'était dimanche, qu'on pouvait pas. La sage-femme me disait de pousser. Elle est montée sur mon ventre pour pousser le bébé."

Et ensuite?
"La tête du bébé est sortie, mais les épaules coinçaient. Un bras de mon fils ne venait pas. Il était complètement tourné. Voilà. Il était handicapé. Quand le médecin l'a pris dans ses bras, ses bras pendaient."

Qu'ont dit les médecins?
"Juste après l'accouchement, ils m'ont dit qu'ils avaient fait une faute! Ils m'ont dit 'On a fait une faute: la tête est sortie, les épaules coinçaient, et le bras n'arrivait pas. On a tiré d'un coup.' Alors après pourquoi ils mentent?" Elle s'arrête, en pleurs. "Demandez à mon mari."

Radouane Ijjou, le père de Mohammed, actuellement au Maroc, répond aussi au Post.

Que pensez-vous de cette décision?
"C'est d'une injustice aveugle. Je ne comprends pas. Je suis la victime et ils veulent me faire passer pour l'accusé et l'auteur de ce drame. C'est une honte!"

Vous n'avez pas empêché un médecin homme d'approcher votre femme?
"Jamais! Qu'est-ce que c'est que ces manières? Vous croyez que j'aurais laissé ma femme souffrir comme ça? Dans un hôpital, on est là pour soigner d'abord, discuter après."

Comment expliquez-vous que l'hôpital prétende le contraire?
"C'est un hôpital public qui veut cacher une faute professionnelle et qui s'en prend à nous parce que c'est plus facile. C'est n'importe quoi."

Qu'attendez-vous aujourd'hui?
"J'attends la justice, c'est tout. Au début, je pensais même pas à aller au tribunal. Avec ma femme, on se disait: 'L'Etat, c'est l'Etat.' C'est ma famille et mes proches qui m'ont convaincu. Mon fils n'a pas de vie. Il ne mange pas, ne boit pas, ne change jamais de position et ne peut même pas tourner la tête. Il faut être aveugle pour cacher un tel drame. Il faut arrêter de mentir."

Contactée par Le Post, l'avocate de Rouadane Ijjou Me Isabelle Damiano dit n'être "pas surprise par la décision, compte tenu des éléments fournis par l'hôpital disant que M. Ijjou s'est opposé à l'intervention d'un médecin homme lors de l'accouchement." Elle ajoute qu'il a toujours affirmé n'avoir "jamais imposé d'intervention médicale strictement féminine".

Tous cela parce qu'il y a une forte propagande contre les musulmans et tous les prétextes sont bons pour les accuser. L'incompétence de ces médecins est flagrante.

lepost.fr/antipropagandecom

0 Participations:

About This Blog

Blog Archive

Back to TOP