Le drame militaire de Carcassonne ? (2 videos)
Vous allez me dire que je suis paranoïaque, mais les faits de Carcassonne sont tres étranges. Pour rappelle : ce soldat expérimenté depuis l’age de 20 ans, huit ans d'entraînements dans les paras. revenait d’intervention. Il fait parti du 3e RPIMa. Ce n’est donc pas un petit soldat c’est un sous officier, un sergent. C’est un connaisseur.Ce drame a eu lieu a 18 heures à Carcassonne, alors qu’un groupe (voir video) faisait une demonstration publique de la liberation d’otages, le sergent, experimenté, a fait feu sur le publique causant des blessures tres graves a certains civils. 17 personnes ont été touché par les tirs ou des éclats de tirs. C’est une fusillade peu banale. Sur les 17 blessés, 15 sont des civils, dont 5 sont des enfants, et 2 sont des militaires. Le «pronostic vital» des quatre blessés graves, deux enfants et un adulte hospitalisés à Toulouse, et un autre adulte à Carcassonne, «n'est plus engagé»....
Selon Brice Robien, procureur de Carcassone, c’est une maladresse, et une erreur humaine. Mais qu’en est il vraiment ?
1. Nous savons que les tirs étaient fait avec des balles a blanc. Pour commencer, le FAMAS doit être équipé d’un BTB (un bouchon de tir à blanc) pour tirer a blanc sinon, il est impossible de tirer a répétition avec un FAMAS. Pour explication, ce BTB permet le retour de gaz propulsé lors du tir pour dégager la douille du FAMAS et permettre d’engager une autre balle a blanc. Le BTB est une bouchon en acier, ou alliage et doit être vissé sur l’embout du FAMAS. Pour le visser, il faut 6 à 7 tours et doit être fortement serré. Et bien entendu, le FAMAS est vérifié par le responsable de l’équipe ou du groupe : procédure oblige.
Ce qui veut dire que cette étape a été négligé.
2. Dans tous les cas, si le soldat veut tirer avec une balle réelle alors que le FAMAS est équipé du BTB, la balle fera exploser le canon du FAMAS et causera des blessures au tireur. Il est donc impossible de tirer une balle de plus ou virer le chargeur alors que le BTB est sur le canon.3. Si par malheur, le soldat a oublié de mettre le BTB sur le FAMAS, il est impossible de ne pas le remarquer : ni de son supérieur qui vérifie les armements, ni de ses collègues qui eux portent les mêmes armes.
Les médias, la défense, et les politiques nous prennent donc pour des bœufs.
3. Et enfin, pour recharger son fusil, le soldat est tenu de « vérifier » ou précisément de regarder le chargeur avant de le mettre dans son porte chargeur. Même a moitié vide, les balles sont toujours visibles. Donc, nous ne pouvons pas nous tromper. Même un bleusaille ne confondrait pas, des le premier coup d’œil, la balle réelle de la balle a blanc. Surtout que les couleurs des balles sont différentes. Le soldat regarde le chargeur pour vérifier un seul coup d’œil si rien n’obstrue l’ouverture du chargeur.
Un soldat avec 8 ans de carrière, et envoyé souvent en mission, ne peut pas se prétendre aussi idiot. Ce qui m’inquiète le plus c’est un chargeur de balle réelle qui se baladerai dans la poche du soldat. C’est simplement impossible sauf a vouloir provoquer un choc comme celui-ci : tirer sur le publique et provoquer la démission de l’etat major de l’armé de terre. Ce serait la meilleur des manières pour bouleverser toute l’organisation de cette armé uni depuis un demi siecle.
Revenant a ce chargeur. Lorsque vous etes en exercice, comme il a été dit, le chargeur venait d’un précédent exercice, les tireurs sont contrôlés par un supérieur : qui vérifie le nombre de tir, ramasse les douilles, les comptes et comptabilise, reprend les chargeurs vides etc… c’est une procédure qui est parfaitement suivi par l’armé, et surtout la RPIMa connu pour être une des élites de l’armé. Il est donc une fois de plus impossible que le chargeur a moitié vide reste dans la poche de ce soldat. A moins qu’on l’ai voulu.
Sachez que les chargeurs sont donnés vide avec des balles plastifiées que le soldat prendra soin de charger lui-même.
Donc, plusieurs chose sont a relever : le chargeur a balle reelle n’a pas été rendu, et donc l’armurier n’a pas pu le compter, le BTB n’y était pas ce que le superieur et les autres auraient tres vite remarqué, le BTB était mal vissé, ce que le soldat verifié et le supérieur, mais il fait exploser le canon en cas de tire a balle réelle et blesse des le premier tire le soldat… Donc tous cela est impossible.
Ce qui m’étonne, c’est la démission du général Cruche qui a été démissionné avant que l’enquête ne soit engagé. Oui, oui, il a démissionné des dimanche soir, et l’incident a eu lieu a 18 heures. Etonnant non ? il faut savoir que Cruche a critiqué le « livre blanc de sarkozy sur l’armé ».
Et pourquoi ce fait ne serait pas lié a la volonté de certains de dégager le général en raison de sa critique sur le « livre blanc » tout comme une émeute a eu lieu dans une ville 2 jours avant l’annonce du plan « espoir banlieue ». vous voyez ce que je veux dire !
1. Nous savons que les tirs étaient fait avec des balles a blanc. Pour commencer, le FAMAS doit être équipé d’un BTB (un bouchon de tir à blanc) pour tirer a blanc sinon, il est impossible de tirer a répétition avec un FAMAS. Pour explication, ce BTB permet le retour de gaz propulsé lors du tir pour dégager la douille du FAMAS et permettre d’engager une autre balle a blanc. Le BTB est une bouchon en acier, ou alliage et doit être vissé sur l’embout du FAMAS. Pour le visser, il faut 6 à 7 tours et doit être fortement serré. Et bien entendu, le FAMAS est vérifié par le responsable de l’équipe ou du groupe : procédure oblige.
Ce qui veut dire que cette étape a été négligé.
2. Dans tous les cas, si le soldat veut tirer avec une balle réelle alors que le FAMAS est équipé du BTB, la balle fera exploser le canon du FAMAS et causera des blessures au tireur. Il est donc impossible de tirer une balle de plus ou virer le chargeur alors que le BTB est sur le canon.3. Si par malheur, le soldat a oublié de mettre le BTB sur le FAMAS, il est impossible de ne pas le remarquer : ni de son supérieur qui vérifie les armements, ni de ses collègues qui eux portent les mêmes armes.
Les médias, la défense, et les politiques nous prennent donc pour des bœufs.
3. Et enfin, pour recharger son fusil, le soldat est tenu de « vérifier » ou précisément de regarder le chargeur avant de le mettre dans son porte chargeur. Même a moitié vide, les balles sont toujours visibles. Donc, nous ne pouvons pas nous tromper. Même un bleusaille ne confondrait pas, des le premier coup d’œil, la balle réelle de la balle a blanc. Surtout que les couleurs des balles sont différentes. Le soldat regarde le chargeur pour vérifier un seul coup d’œil si rien n’obstrue l’ouverture du chargeur.
Un soldat avec 8 ans de carrière, et envoyé souvent en mission, ne peut pas se prétendre aussi idiot. Ce qui m’inquiète le plus c’est un chargeur de balle réelle qui se baladerai dans la poche du soldat. C’est simplement impossible sauf a vouloir provoquer un choc comme celui-ci : tirer sur le publique et provoquer la démission de l’etat major de l’armé de terre. Ce serait la meilleur des manières pour bouleverser toute l’organisation de cette armé uni depuis un demi siecle.
Revenant a ce chargeur. Lorsque vous etes en exercice, comme il a été dit, le chargeur venait d’un précédent exercice, les tireurs sont contrôlés par un supérieur : qui vérifie le nombre de tir, ramasse les douilles, les comptes et comptabilise, reprend les chargeurs vides etc… c’est une procédure qui est parfaitement suivi par l’armé, et surtout la RPIMa connu pour être une des élites de l’armé. Il est donc une fois de plus impossible que le chargeur a moitié vide reste dans la poche de ce soldat. A moins qu’on l’ai voulu.
Sachez que les chargeurs sont donnés vide avec des balles plastifiées que le soldat prendra soin de charger lui-même.
Donc, plusieurs chose sont a relever : le chargeur a balle reelle n’a pas été rendu, et donc l’armurier n’a pas pu le compter, le BTB n’y était pas ce que le superieur et les autres auraient tres vite remarqué, le BTB était mal vissé, ce que le soldat verifié et le supérieur, mais il fait exploser le canon en cas de tire a balle réelle et blesse des le premier tire le soldat… Donc tous cela est impossible.
Ce qui m’étonne, c’est la démission du général Cruche qui a été démissionné avant que l’enquête ne soit engagé. Oui, oui, il a démissionné des dimanche soir, et l’incident a eu lieu a 18 heures. Etonnant non ? il faut savoir que Cruche a critiqué le « livre blanc de sarkozy sur l’armé ».
Et pourquoi ce fait ne serait pas lié a la volonté de certains de dégager le général en raison de sa critique sur le « livre blanc » tout comme une émeute a eu lieu dans une ville 2 jours avant l’annonce du plan « espoir banlieue ». vous voyez ce que je veux dire !
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