L’antisionisme et la victimisation sioniste
Le sujet réel du 21 eme siècle, est le sionisme et son influence dans la politique française. L’Europe est aussi utilisé par les sionistes. Il suffit de compter les fugitifs lors du discours vrai du président iranien (vous aurez une révélation avec vidéo bientôt). Les problèmes ne viennent pas d’un soi disant pays de 5 millions d’habitant comme le dit élis. levy, mais ce sont les lobby comme le crif, l’aipac et autre organisation mafieuse en Angleterre, en Allemagne qui intimide nos politiciens. Ce sont ceux là qui sont dangereux pour la liberté et l’égalité en France. Lorsque chaque années, toutes les organisations mafieuses sionistes invitent nos politiques oxidentaux a une tablée communautaire, ce n’est aucunement pour l’intérêt générale....L’antisémitisme n’est pas le sionisme. Le sionisme est une idéologie raciste, non religieuse a la base, et guerrière. Cette idéologie est pour le nettoyage ethnique comme on le voit a beit el Quds. Le chantage a l’antisémitisme est une astuce, un exercice de pression sur les opposants pour les faire taire, les faire agresser par des fascistes juifs sionistes : betar, dj et autres cloportes assoiffé de sang français.
En écoutant la discussion entre Soral et élise levy, celle-ci essais de nous entraîner vers l’antisémitisme. Parfois même, essais de rappeler a Soral que l’on ne peut combattre l’antisionisme car les jeunes de banlieue confondent « feuj » et sioniste. Elle prend les gens pour des imbéciles. « l’obsession d’azrael » est un argument sioniste que beaucoup utilise tel : adler, BHL, elisabeth levy et autre sioniste.
L’obsession est une forme de victimisation. Le mot « feuj » utilisé pour confondre le sioniste et les juifs est aussi une forme de victimisation, tout comme pousser a amalgamer l’antisionisme et l’antisémitisme est une forme identique de victimisation. Celle ci permet un surplomb morale sur son interlocuteur. Ce dernier, dos au mur, est obligé de se justifier et de reprendre ses explications. Le sioniste utilise la victimisation pour prendre l’ascendant sur son opposant et abuse ainsi du compassionnel.
La victimisation est aussi une stratégie qui pousse les gens a utiliser le politiquement correct ou l’accusation ultime d’antisémitisme est aussi une attaque contre le langage vrai : c’est donc aussi pousser son opposant a parler « politiquement correct ».
Le sioniste use constamment de la litanie victimaire pour son fond de commerce. Nous avons vu cela pendant la barbarie sioniste contre Ghaza : alors qu’ils bombardent lâchement des civils (femmes, enfants et vieillards) au phosphore blanc et au bombe DIME, ici, en France, les lobbys sionistes faisaient des parades, des manifestations et des incendies volontaires dans leurs synagogues pour attirer la sympathie : c’est une des raisons de leur réussite victimaire depuis plus d’un demi siècle.
Nous faire croire que les juifs sont tous sionistes est aussi une posture qu’adler a utilisé lors de l’émission de taddei en affirmant qu’il représentait 1 million de juif français. Il existe des juifs non sioniste, d’autres antisionistes, d’autres sionistes. Les non sionistes, sont généralement complètement étranger a tous ces problèmes, les antisionistes sont plus actifs, et manifestent généralement contre les méthodes sionistes alors que les juifs sionistes font leur voyage initiatique au sionistan, font leur armée dans l’équipe de bras cassés barbares sionistes et font même quelques morts de bébés comme a Ghaza.
Avouons qu’en France, nous n’avons plus le contrôle de notre pays : en terme de politique, d’engagement militaire, sur la vie sociale, dans les médias, même dans nos écoles : les enfants de moins de 9 ans sont forcés d’écouter des histoires mortuaires datant de plus 60 ans. Alors qu’ils n’en ont aucune conscience.
Dans le cas de l’antisionisme, il faut que l’équipe du PAS (parti anti sioniste) se trouve des gens de diverse horizons, une sorte de think thank et trouver toutes sortes de contre arguments ou d’objections afin de tuer dans l’œuf toutes les mise en scène victimaire. Il faut que ce think thank, utilise les mêmes méthodes que les sionistes : ceux cité ici, mais aussi la madame Michelle de finkielkraut, l’utilisation des faits divers internationales sionistes : Bruno guigue, les drapeaux sionistes utilisés dans toute les manifs même dans les jugements…
La victimisation actuellement le plus souvent utilisé est celle du « mégaphone » : les sionistes se contentent de relever les propos de certains antisionistes, de les tronquer et de s’indigner de leur outrance, qu’ils jugent indécents et scandaleux. Sauf que, peu à peu, cette indignation prend tous les gros titres médiatiques : désormais, quand on évoque une situation de lobbying ou d’oppression, ce n’est jamais le lobbying ou l’oppression en eux-mêmes qui font débat et constituent un objet de préoccupation unanime, mais les dérapages verbaux, réels ou supposés, de ceux qui luttent contre le sionisme.
En exemple, levy est revenu sur une explication de Soral lorsqu’il pense tout haut a ces fameux juifs qui sont persécutés pour des raisons que l’on doit étudier… une discussion de comptoir que levy a ressorti pour accabler son opposant. Toujours cette victimisation.
C’est leur principale méthode et l’unique d’ailleurs.
Je vous incite a lire le billet de la paille et la poutre sur ce même sujet, concernant le sionisme et l’antisionisme.
En écoutant la discussion entre Soral et élise levy, celle-ci essais de nous entraîner vers l’antisémitisme. Parfois même, essais de rappeler a Soral que l’on ne peut combattre l’antisionisme car les jeunes de banlieue confondent « feuj » et sioniste. Elle prend les gens pour des imbéciles. « l’obsession d’azrael » est un argument sioniste que beaucoup utilise tel : adler, BHL, elisabeth levy et autre sioniste.
L’obsession est une forme de victimisation. Le mot « feuj » utilisé pour confondre le sioniste et les juifs est aussi une forme de victimisation, tout comme pousser a amalgamer l’antisionisme et l’antisémitisme est une forme identique de victimisation. Celle ci permet un surplomb morale sur son interlocuteur. Ce dernier, dos au mur, est obligé de se justifier et de reprendre ses explications. Le sioniste utilise la victimisation pour prendre l’ascendant sur son opposant et abuse ainsi du compassionnel.
La victimisation est aussi une stratégie qui pousse les gens a utiliser le politiquement correct ou l’accusation ultime d’antisémitisme est aussi une attaque contre le langage vrai : c’est donc aussi pousser son opposant a parler « politiquement correct ».
Le sioniste use constamment de la litanie victimaire pour son fond de commerce. Nous avons vu cela pendant la barbarie sioniste contre Ghaza : alors qu’ils bombardent lâchement des civils (femmes, enfants et vieillards) au phosphore blanc et au bombe DIME, ici, en France, les lobbys sionistes faisaient des parades, des manifestations et des incendies volontaires dans leurs synagogues pour attirer la sympathie : c’est une des raisons de leur réussite victimaire depuis plus d’un demi siècle.
Nous faire croire que les juifs sont tous sionistes est aussi une posture qu’adler a utilisé lors de l’émission de taddei en affirmant qu’il représentait 1 million de juif français. Il existe des juifs non sioniste, d’autres antisionistes, d’autres sionistes. Les non sionistes, sont généralement complètement étranger a tous ces problèmes, les antisionistes sont plus actifs, et manifestent généralement contre les méthodes sionistes alors que les juifs sionistes font leur voyage initiatique au sionistan, font leur armée dans l’équipe de bras cassés barbares sionistes et font même quelques morts de bébés comme a Ghaza.
Avouons qu’en France, nous n’avons plus le contrôle de notre pays : en terme de politique, d’engagement militaire, sur la vie sociale, dans les médias, même dans nos écoles : les enfants de moins de 9 ans sont forcés d’écouter des histoires mortuaires datant de plus 60 ans. Alors qu’ils n’en ont aucune conscience.
Dans le cas de l’antisionisme, il faut que l’équipe du PAS (parti anti sioniste) se trouve des gens de diverse horizons, une sorte de think thank et trouver toutes sortes de contre arguments ou d’objections afin de tuer dans l’œuf toutes les mise en scène victimaire. Il faut que ce think thank, utilise les mêmes méthodes que les sionistes : ceux cité ici, mais aussi la madame Michelle de finkielkraut, l’utilisation des faits divers internationales sionistes : Bruno guigue, les drapeaux sionistes utilisés dans toute les manifs même dans les jugements…
La victimisation actuellement le plus souvent utilisé est celle du « mégaphone » : les sionistes se contentent de relever les propos de certains antisionistes, de les tronquer et de s’indigner de leur outrance, qu’ils jugent indécents et scandaleux. Sauf que, peu à peu, cette indignation prend tous les gros titres médiatiques : désormais, quand on évoque une situation de lobbying ou d’oppression, ce n’est jamais le lobbying ou l’oppression en eux-mêmes qui font débat et constituent un objet de préoccupation unanime, mais les dérapages verbaux, réels ou supposés, de ceux qui luttent contre le sionisme.
En exemple, levy est revenu sur une explication de Soral lorsqu’il pense tout haut a ces fameux juifs qui sont persécutés pour des raisons que l’on doit étudier… une discussion de comptoir que levy a ressorti pour accabler son opposant. Toujours cette victimisation.
C’est leur principale méthode et l’unique d’ailleurs.
Je vous incite a lire le billet de la paille et la poutre sur ce même sujet, concernant le sionisme et l’antisionisme.
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