Le déclin de la littérature israélite
Beaucoup de sionistes se déclarent être fiers de la littérature israélite, et s’acharnent a en faire une culture exceptionnelle. Mais qu’en est il véritablement ? en réalité, la culture israélienne est en déclin en raison de sa dissemblance. Si, dans certains pays, la diversité apporte une fraîcheur a la littérature autochtone, celle israélite se consume rapidement dans les archives d’un temps obsolète. Et pour cause, des gens de tout horizon se sont installés illégalement en Palestine sans aucune culture, savoir, et acquis commun.
On ne peut comparer les archives vieillots de la culture israélite a celle de la littérature française du passé. Cette dernière est ample et restera riche, attirant toutes sortes d’étudiants, de chercheurs, d’experts et de curieux a venir dans nos contrées pour les étudier, pour comprendre le style d’un passé aisé en dialectologie. Nous aimons tous lire des livres écrits dans un ancien français, nous étudions tous cette langue si belle et si savoureuse a nos oreilles. Contrairement a la littérature israélite, la langue a très rapidement évolué vers un dialecte policé, non pas pour s’enrichir, mas se dégrader consciemment ou involontairement.
C’est tout a fait prévisible, en raison d’une construction superficielle de la langue et adaptée a une nouvelle population composée d’étrangers, pour la majorité, d’individu provenant de tous horizons, de tous les pays. Leur première instruction n’est nullement les avancées de la civilisation, comme ils aiment le crier, mais plutôt une littérature militariste, expansionniste, qui verse dans la haine d’autres cultures possiblement opposée a la leur (c’est ainsi qu’ils le conçois)…
D’ailleurs, nous avons des affirmations de quelques écrivains israélites comme Benny Ziffer qui précisent bien : « Je trouve qu’il y a un appauvrissement significatif de la vie intellectuelle israélienne, ce qui se voit dans le manque de discussion sur les idées et le faible nombre d’essais intéressants… » il est important donc de faire paraître de nombreux livres sionistes au dépens de la qualité. Ce qui exprime bien que le fond de la littérature sioniste est basé uniquement sur de la propagande : un intérêt considéré par eux comme vitale.
Dans l’interview de nonfiction.fr, Benny Ziffer (voir photo) precise une chose fondamentale, a savoir : « Nous vivons dans une société qui a besoin d’un prophète et en Israël, ce sont les militaires et les écrivains qui jouent ce rôle. ». il révèle ainsi au plus dure des sionistes que la littérature israélite est composée essentiellement d’une élite intello-millitariste. Et qu’il est donc difficile de sillonner un livre, sans rencontrer une intoxication, même non guerrière, en faveur d’une idéologie sioniste. La littérature israélite est en déclin, confirmé par Benny Ziffer, car elle se retrouve de plus en plus dans le mamelon d’un esprit militariste : « Mais ces auteurs sont aujourd’hui fatigués et il n’y a personne pour permettre un passage de témoin. Du coup, les figures tutélaires ne sont plus que des militaires ! »
Il va même jusqu'à confirmer mes soupçons, en affirmant que les écrits hébreux d’écrivains arabes sont de plus en plus visibles, cependant, il est difficile de faire traduire de l’arabe vers l’hébreux beaucoup de livres intéressants. Ceci peut être en raison d’une intolérance, ou d’une incapacité de ce détacher de leurs tribalismes archaïques.
Dans ce cas, la question est posée, devons nous boycotter la « littérature » israélite ? oui, je l’affirme et d’ailleurs, je suis parfaitement d’accord avec Benny Ziffer lorsqu’il dit dans son interview : « C’est à mon avis le meilleur moyen de ne pas faire le jeu des ennemis d’Israël, non pas en participant à cette mascarade du Salon du Livre, mais en étant les premiers à la dénoncer. » la critique de ce salon du livre ne doit pas rester aux seuls pays arabes, mais doit aussi appartenir aux israélites… c’est ainsi que les israélites resteront, face au monde, de grands écrivains… si seulement ils ne jouaient pas le jeux de la propagande politico-mafieuse du salon du livre.
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