Les tribulations sionistes en Afrique
Le 25 février 2008, le Mouvement de Libération du Soudan a annoncé l’ouverture de ses bureaux à Tel Aviv. Le mouvement rebelle du Darfour dirigé par Abdel Wahid Al Nour a déclaré à cette occasion qu’étant donné que le gouvernement israélien avait protégé des jeunes Soudanais du Darfour d’un génocide certain, il était temps qu’une représentation pour les réfugiés soudanais soit présente en Israël...
En espérant acquérir de la respectabilité et de la notoriété à l’échelle internationale, Abdel Wahid Al Nur révèle ses accointances. La faction séparatiste est depuis toujours soutenue par le Lobby étasunien et l’installation d’une officine à demeure dans l’entité sioniste est le pas qui met le SLM (Mouvement de Libération du Soudan) en rapport direct avec ses financiers.
Al Nur se place sous autorité israélienne pour revendiquer une vision libérale et sécularisée de l’État du Soudan.
Pendant les années de guerre civile quand le Sud menait sa guérilla pour la sécession, le Darfour fournissait abondamment des soldats pour l’infanterie du gouvernement central religieux de Khartoum, loin de toute idée de laïcité revendiquée alors par les séparatistes de l’époque.
Dans ces années, Israël soutenait les séparatistes du Sud, logistiquement et financièrement, et c’est en raison d’accords secrets entre le Président de l’époque Jâafr Al Numeiri et l’équipe dirigeante de l’entité sioniste que les architectes de la rébellion du Sud furent contraints de s’asseoir à la table de négociation.
La Coalition Save Darfour basée aux US(a) et composée quasi-exclusivement de groupes confessionnels juifs, le reste étant représenté par quelques évangélistes sionistes, s’est promis de mettre à profit le passage de la flamme olympique pour dénoncer la complicité de la Chine dans le « génocide » du Darfour. Quelques activistes de Save Darfour ont rejoint les défenseurs du Tibet le 9 avril à San Francisco. Parmi eux, Ruth Messinger la présidente de « American Jewish Service » branche de New York. Le rabbin Lee Bycel, président de AJS pour la région ouest faisait partie de la manifestation. Ce chef religieux est allé de nombreuses fois au Tchad dans des camps de réfugiés.
Les implications de la très démocratique et occidentale entité sioniste en Afrique excèdent la coopération tristement célèbre entre Israël et l’État de l’apartheid d’Afrique du Sud, les Israéliens faisaient leur profit en contournant le boycott international opposé au régime banni du Cap.
Des universitaires proches du candidat d’opposition Simba Makoni au Zimbabwe avaient dénoncé en mars avant même la tenue des élections l’arrivée d’équipes israéliennes (et pakistanaises) à Harare pour aider à installer un climat de terreur parmi la population et truquer les élections. Mugabe a payé 2,5 millions de dollars une firme Cogniview en lien avec le Mossad pour assurer la maîtrise de toute rébellion populaire après l’annonce des résultats en coopération avec les forces de sécurité locales. Elle s’est assurée de la maîtrise du déroulement des élections et a trafiqué les listes électorales et fourni des bulletins surnuméraires à placer dans les urnes.
La politique d’intervention africaine d’Israël depuis l’Angola, à la République Démocratique du Congo, au Rwanda, à la Sierra Leone en passant par la République de Centre Afrique et la Côte d’Ivoire, sert les intérêts stratégiques des deux alliés US(a)-Israël et l’économie israélienne n’est pas en reste.
La Gesrtler’s International Diamond Industry qui détient le monopole du diamant congolais a fourni une assistance militaire à la République Démocratique du Congo au travers de personnel conseil comme le Général en retraite Yosi Ben Hanan, Avigdor Lieberman député du parti d’extrême droite Yisrael Beytenu et Yossi Kamisa ancien officier de la police anti-terroriste. Le grand-père des frères Gertler, de ce même groupe Dan Gertler Israel (DGI) Moshe Schnitzer est connu en Israël sous le nom de M. Diamant. Dans sa jeunesse, Schnitzer faisait partie du groupe terroriste Irgoun qui a assassiné entre autres victimes l’envoyé de la Croix Rouge en Palestine, le comte Bernadotte. Il a fondé la bourse d’échange du diamant en Israël qui procure 13 milliards de dollars au PIB israélien par an et représente la deuxième plus importante industrie exportatrice de l’entité sioniste.
D’après un rapport publié par l’American Jewish Committee, les diplomates israéliens ont été remplacés après les années 80 par un petit groupe d’hommes d’affaires, d’agents du Mossad et d’émissaires militaires qui sont devenus les seuls interlocuteurs des leaders africains. Des anciens officiers de l’armée israélienne, comme Yair Klein recherché par le FBI pour avoir entraîné les milices du cartel de Medelin en Colombie, sont devenus des trafiquants d’armes à l’échelle de tout le continent africain, répandant le sang qui tâche les matières premières, coltran, diamant, uranium et pétrole.
Pourquoi retrouve-t-on toujours l’artefact du côté des fauteurs de troubles, de guerre et de crime ?
Al Nur se place sous autorité israélienne pour revendiquer une vision libérale et sécularisée de l’État du Soudan.
Pendant les années de guerre civile quand le Sud menait sa guérilla pour la sécession, le Darfour fournissait abondamment des soldats pour l’infanterie du gouvernement central religieux de Khartoum, loin de toute idée de laïcité revendiquée alors par les séparatistes de l’époque.
Dans ces années, Israël soutenait les séparatistes du Sud, logistiquement et financièrement, et c’est en raison d’accords secrets entre le Président de l’époque Jâafr Al Numeiri et l’équipe dirigeante de l’entité sioniste que les architectes de la rébellion du Sud furent contraints de s’asseoir à la table de négociation.
La Coalition Save Darfour basée aux US(a) et composée quasi-exclusivement de groupes confessionnels juifs, le reste étant représenté par quelques évangélistes sionistes, s’est promis de mettre à profit le passage de la flamme olympique pour dénoncer la complicité de la Chine dans le « génocide » du Darfour. Quelques activistes de Save Darfour ont rejoint les défenseurs du Tibet le 9 avril à San Francisco. Parmi eux, Ruth Messinger la présidente de « American Jewish Service » branche de New York. Le rabbin Lee Bycel, président de AJS pour la région ouest faisait partie de la manifestation. Ce chef religieux est allé de nombreuses fois au Tchad dans des camps de réfugiés.
Les implications de la très démocratique et occidentale entité sioniste en Afrique excèdent la coopération tristement célèbre entre Israël et l’État de l’apartheid d’Afrique du Sud, les Israéliens faisaient leur profit en contournant le boycott international opposé au régime banni du Cap.
Des universitaires proches du candidat d’opposition Simba Makoni au Zimbabwe avaient dénoncé en mars avant même la tenue des élections l’arrivée d’équipes israéliennes (et pakistanaises) à Harare pour aider à installer un climat de terreur parmi la population et truquer les élections. Mugabe a payé 2,5 millions de dollars une firme Cogniview en lien avec le Mossad pour assurer la maîtrise de toute rébellion populaire après l’annonce des résultats en coopération avec les forces de sécurité locales. Elle s’est assurée de la maîtrise du déroulement des élections et a trafiqué les listes électorales et fourni des bulletins surnuméraires à placer dans les urnes.
La politique d’intervention africaine d’Israël depuis l’Angola, à la République Démocratique du Congo, au Rwanda, à la Sierra Leone en passant par la République de Centre Afrique et la Côte d’Ivoire, sert les intérêts stratégiques des deux alliés US(a)-Israël et l’économie israélienne n’est pas en reste.
La Gesrtler’s International Diamond Industry qui détient le monopole du diamant congolais a fourni une assistance militaire à la République Démocratique du Congo au travers de personnel conseil comme le Général en retraite Yosi Ben Hanan, Avigdor Lieberman député du parti d’extrême droite Yisrael Beytenu et Yossi Kamisa ancien officier de la police anti-terroriste. Le grand-père des frères Gertler, de ce même groupe Dan Gertler Israel (DGI) Moshe Schnitzer est connu en Israël sous le nom de M. Diamant. Dans sa jeunesse, Schnitzer faisait partie du groupe terroriste Irgoun qui a assassiné entre autres victimes l’envoyé de la Croix Rouge en Palestine, le comte Bernadotte. Il a fondé la bourse d’échange du diamant en Israël qui procure 13 milliards de dollars au PIB israélien par an et représente la deuxième plus importante industrie exportatrice de l’entité sioniste.
D’après un rapport publié par l’American Jewish Committee, les diplomates israéliens ont été remplacés après les années 80 par un petit groupe d’hommes d’affaires, d’agents du Mossad et d’émissaires militaires qui sont devenus les seuls interlocuteurs des leaders africains. Des anciens officiers de l’armée israélienne, comme Yair Klein recherché par le FBI pour avoir entraîné les milices du cartel de Medelin en Colombie, sont devenus des trafiquants d’armes à l’échelle de tout le continent africain, répandant le sang qui tâche les matières premières, coltran, diamant, uranium et pétrole.
Pourquoi retrouve-t-on toujours l’artefact du côté des fauteurs de troubles, de guerre et de crime ?
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