USA : le Conseil National de Sécurité aurait donné son accord pour une frappe contre l’Iran
La politique d'hégémonie Us s'accélère au proche Orient et en Orient. la récente déclaration de guerre de Joumblatt contre la résistance libanaise composé de sunnite, du Amal, du Hezbollah, d'une partie importante de l'armé est une preuve de la volonté des US, de la France et des israéliens d'aboutir a leur projet du contrôle de l'Orient par tous les moyens.
Washington bruit aujourd’hui de spéculation et de rumeurs suggérant que le Conseil National de Sécurité a donné son accord de principe pour la mise en œuvre d’un plan d’attaque aérienne contre une base de la Brigade Al Qods des Gardiens de la Révolution iraniens qui serait utilisée pour l’entraînement des militants irakiens....
Le camp qui sera visé est l’un de ceux qui sont situés près de Téhéran. Le Secrétaire de la Défense Robert Gates a été le seul responsable a avoir demandé un délai avant que ne soit entreprise toute action offensive.
Cette décision de mise en oeuvre des projets d’attaque de l’Iran est le résultat direct des préoccupations exprimées au sujet de la détérioration de la situation au Liban, où le Hezbollah allié de l’Iran semble avoir pris le dessus contre les forces gouvernementales et pourrait être en mesure de dominer une situation politique conflictuelle.
La Maison Blanche a contacté le gouvernement iranien directement hier par l’intermédiaire les dirigeants de la région kurde d’Irak, qui ont toujours eu des liens étroits avec Téhéran. Les États-Unis ont exigé que l’Iran admette qu’il s’ingérait dans les affaires Irakiennes et s’engage également à prendre des mesures pour mettre fin à au soutien apporté à divers groupes militants.
L’Iran a également été mis en garde au sujet de son ingérence au Liban. Le gouvernement iranien aurait répondu rapidement, en réaffirmant sa position selon laquelle il ne discuterait pas de ces questions jusqu’à ce que les États-Unis mettent fin à leurs ingérences en utilisant des groupes dissidents iraniens.
Le sentiment d’une intransigeance iranienne perceptible allant de pair avec la situation libanaise ont convaincu la Maison Blanche que certains signaux sans équivoque devaient être envoyé aux dirigeants iraniens, probablement sous la forme de missiles de croisière.
On peut présumer que l’attaque sera aussi « précise » et limitée que possible, destinée à cibler uniquement la Brigade Al Qods et d’éviter les pertes civiles.
La décision de mettre en oeuvre ce plan d’attaque n’est pas finalisée. Le président devra encore donner l’ordre de lancement après que toutes les préparations auront été faites.
Philip Giraldi est un ancien membre de la CIA.
source
Cette décision de mise en oeuvre des projets d’attaque de l’Iran est le résultat direct des préoccupations exprimées au sujet de la détérioration de la situation au Liban, où le Hezbollah allié de l’Iran semble avoir pris le dessus contre les forces gouvernementales et pourrait être en mesure de dominer une situation politique conflictuelle.
La Maison Blanche a contacté le gouvernement iranien directement hier par l’intermédiaire les dirigeants de la région kurde d’Irak, qui ont toujours eu des liens étroits avec Téhéran. Les États-Unis ont exigé que l’Iran admette qu’il s’ingérait dans les affaires Irakiennes et s’engage également à prendre des mesures pour mettre fin à au soutien apporté à divers groupes militants.
L’Iran a également été mis en garde au sujet de son ingérence au Liban. Le gouvernement iranien aurait répondu rapidement, en réaffirmant sa position selon laquelle il ne discuterait pas de ces questions jusqu’à ce que les États-Unis mettent fin à leurs ingérences en utilisant des groupes dissidents iraniens.
Le sentiment d’une intransigeance iranienne perceptible allant de pair avec la situation libanaise ont convaincu la Maison Blanche que certains signaux sans équivoque devaient être envoyé aux dirigeants iraniens, probablement sous la forme de missiles de croisière.
On peut présumer que l’attaque sera aussi « précise » et limitée que possible, destinée à cibler uniquement la Brigade Al Qods et d’éviter les pertes civiles.
La décision de mettre en oeuvre ce plan d’attaque n’est pas finalisée. Le président devra encore donner l’ordre de lancement après que toutes les préparations auront été faites.
Philip Giraldi est un ancien membre de la CIA.
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