Zarkaoui, Bush et les lettres contrefaites.
Pour un salafiste, il devrait apprendre a utiliser son index droit...
comme promis, je reviens sur le cas d’al qu’aida et de Zarkaoui. Je me suis intéressé au cas de ce dernier, et est voulu étudier son parcours, ses écrits, ses amis et toute ses connections. Ceci a partir de mon étonnement, lorsque le renseignement militaire US ait décidé de mettre en avant ce personnage pendant quelques temps a la tête de la nébuleuse al qu’aida. Puis de lui imputer des attentats contre les musulmans d’Irak et enfin de le liquider grâce au renseignement jordanien. En parcourant les sites, les vidéos et toutes les informations concernant cette personne, je suis donc tombé sur une lettre de Maqdessi. Quel ne fut ma surprise de voir quelques éléments essentiels repris par Maqdessi a propos de Zarkaoui… observé donc ce qui suit et vous incite a lire les lettres pour les comparer et vous comprendrez alors que les lettres et entretiens de Zarkaoui sont similaire a celle d’un personnage bien connu : Ibn Taymiya …
Maqdessi et Zarkaoui : « Les frères m'avaient choisi pour " émir " et j'ai gardé ce titre pendant près d'un an… J'ai alors pris la décision de céder ma fonction d'émir à Abou Moussab Al Zarkaoui ».
Ibn Taymiya 695H: « Le 17 cha'ban 695H, Ibn Taymiya donnait son premier cours à la Hambaliya, la plus ancienne école hambalite de Damas, où il succédait à l'un de ses maîtres Zin Ad-Din Ibn Al-Mounadja, qui venait de mourir ».
Zarkaoui : « cette décision (transfert des responsabilités de MOHAMMAD AL MAQDESSI) ne reflétait pas une rivalité au sein de notre groupe ».
Ibn Taymiya : « Les deux adversaires furent finalement mandés au Caire, où ils arrivèrent le 22 Ramadan 705H ».
Zarkaoui : « Les frères m'avaient choisi pour " émir " et j'ai gardé ce titre pendant près d'un an. Mais je me suis rendu compte à quel point cette activité absorbait mon temps quand je préférais dédier celui-ci à l'étude des sciences religieuses, à l'écriture et à l'enseignement pour tous ces jeunes prisonniers. J'ai alors pris la décision de céder ma fonction d'émir à Abou Moussab Al Zarkaoui ».
Ibn Taymiya : « C'est au cours de cet emprisonnement, que cette anecdote fut rapportée : "Ibn Taymiya fut mit avec les détenus du droit Commun et enseigna huit à dix heures par jour la jurisprudence, la loi islamique, et le Hadith. Grâce à cet enseignement, certain détenus du Droit Commun, après leur libération finir, pour certains d'entre eux comme Qadi (juge) et d'autres comme Imam ».
Zarkaoui : « Puis, avant les procès, on nous transféra des cellules individuelles à des salles collectives ».
« Ibn Taymiya fut sur-le-champ, arrêté et enfermé à la citadelle de Damas. Il y demeura un peu plus de cinq mois et fut libéré, le 10 mouharam 721H, par un secret d'El-Malik En-Nasir ».
Zarkaoui et Al Maqdessi : « Nous avons été arrêtés l'un après l'autre et retenus dans les cellules des services de renseignements pendant au moins 6 mois. Puis il a été libéré ».
Ce qui est surprenant, alors que la Jordanie est la plus fidèle aux sionistes et américains, les services de renseignement ont laissé partir al Zarkaoui vers l’Afghanistan sans aucun contrôle.
Zarkaoui et Ibn Taymiya : Vous trouverez cette lettre de taymiya sur tous les sites musulmans.
_____________________________________________________________________________________
Pour qui roule Zarkaoui ?
En cet été infernal pour les Marines qui perdent quotidiennement des soldats, il était urgent d’agir afin de faire retomber la pression sur une opinion publique américaine qui commençait sérieusement à douter de la victoire militaire. En face, la résistance s’organise et frappe les cibles militaires avec une précision et une efficacité telles que certains y voient la répétition du scénario vietnamien. Et c’est toujours au moment où cela va très mal pour les Américains et leurs amis que cette nébuleuse islamiste se signale par des actes qui portent le sceau de l’infamie et dont l’horreur est exploitée aussitôt pour discréditer la véritable résistance et frapper en plein cœur l’islam. La question que l’on est en droit de reposer encore une fois reste sans réponse pour le moment : pour qui roulent Al Zarqaoui et ses copains ? Se peut-il qu’une branche qui se réclame de la résistance irakienne et qui vise à chasser l’occupant s’en prenne d’une manière si maladroite aux intérêts des peuples arabes ? Pourquoi ? Dans quel intérêt ? Si l’on se réfère à certains commentaires de la presse et à la réaction de la rue algérienne, l’objectif de cet odieux crime semble partiellement atteint : des plumes s’en prennent maintenant, et sans distinction, à toute la résistance ; ils font la part belle au rôle américain. Quand tout cela intervient au moment où les GI’s s’entraînent aux portes du Sahara et qu’une campagne sans précédent contre l’islam grossit dans le ventre de l’Europe, il y a de quoi se poser des questions. Lien...
_____________________________________________________________________________________
PSYOP Zarkaoui.
« A ce jour, l’opération de propagande psychologique (PSYOP) Zarkaoui est la campagne de manipulation de l’opinion qui a remporté le plus grand succès. » — Brig. Gen. Mark Kimmitt, planificateur senior au Commandement Central des opérations en Irak et au Moyen-orient.
_____________________________________________________________________________________
Son deuxième séjour en Afghanistan en 2004 :
Au Pakistan, il reprend contact avec les réseaux islamistes et c'est à cette époque qu'il rencontre Ben Laden pour la première fois. Mais leur histoire, leurs motivations et leurs ambitions sont différentes presque antinomiques. Ben Laden est un fils de milliardaire, ayant eu une enfance de nanti, vingt ans d'expérience de combats en Afghanistan et son adhésion au Djihad est encore plus ancienne. Leurs ennemis sont aussi différents, pour Ben Laden ce sont les princes saoudiens et les Américains, pour al-Zarkaoui ce sont les Israéliens et le royaume de Jordanie.
_____________________________________________________________________________________
Zarkaoui ami de l'Iran ! (lol)
0 Participations:
Enregistrer un commentaire