Les crucificateurs de Jésus sont de retour a Ghaza .

L’automutilation sioniste.

Un des premiers rôles d’un philosophe est de questionner le sens commun, les idées toutes faites que sont les présupposés, voire les préjugés de l’extrémisme mais celui-ci ne se situe pas dans cette mesure adoptée par lui. Il relativise voire occulte sa vocation d’extrémiste comme le fait un kouchner lorsqu’il a sollicité le bombardement d’une nation ou comme un ministre sioniste juif israélien hélant a la Shoah des palestiniens. Leurs positions se trouvent plutôt dans l’interprétation d’un ennemi. La définition de leur extrémisme est contrainte par la volonté de se construire un antagonisme et ainsi se prétendre victime de sa position agressive....

La définition de l’extrémisme au regard des sionistes montre donc un désert intellectuel et vide de sens car elle se réduit à une description projetée et préméditée par ces mêmes penseurs pour la plus part juifs sionistes, reposant sur une reproduction de leurs écarts idéologiques qui est subjective et dont la nature est absolu.

De plus, cette définition n’indique pas en soi si leur ennemi qualifié d’extrême est « dangereux » ou non, mais le simple fait de le qualifier ainsi peut laisser penser à l’opinion publique que c’est le cas. Ils s’attachent alors a faire coïncider tous prétexte, tout amalgame, ou faits isolés. Cette atteinte a l’intellectuel de l’individu est longuement réfléchie, si bien que le plus neutre d’entre nous n’a plus le sens de la vérité ou la notion d’exception.

Cependant, toute les attaques des juifs israéliens contre les musulmans, l’islam ou la coran est une forme d’automutilation. Tout comme l’adolescent se mutile caché sous des noms d’empreint ou des diatribes pseudo-universalistes comme la démocratie, le monde libre… cette méthode leurs permet de contrôler leur émotion, leurs angoisses, ou simplement leurs colères. La définition de leur extrémisme est une automutilation incontrôlée mais parfaitement réfléchie, travaillée par groupe d’individu tous liés au sionisme ou aux juifs israéliens.

Tout comme l’ado qui se mutile, l’automutilation des sionistes est un fort malaise et volonté de promouvoir des révolutions perpétuelles. Ceci dans l’objectif de modifier les fondements de toute société comme il a été fait depuis 2000. l’automutilation violente par les USA a créé un envahisseur en Irak, en Afghanistan, au Liban…, et permet des meurtres de masse avec légitimité et sans aucun émoi.
En Palestine, les crimes sont si systématiques qu’il est impossible au plus honnête des journalistes d’en citer une dizaine. Les sionistes ont du mal a gérer leur sentiments et surtout a se reconnaître dépendant de la violence pour survivre a leur automutilation suicidaire.

Ce mal qui les ronge est en réalité une forte disposition au totalitarisme. Sous la bannière de démocratie, et des railleries virulentes parfois même en employant des formes d’expression extrémistes comme « sans tabous », « sans langue de bois », ou la fameuse expression « politiquement incorrect ». vous remarquerez que tous les sionistes développent ces expressions dans le but de fasciser les esprits, de créer des divisions, des tensions et des oppositions. Ce qui par ailleurs, ne leur sert pas vraiment car la majorité des gens ne sont pas des suivistes et arrivent a discerner leur haine.

Cette description rend mieux compte de la propension a la violence verbale et physique des sionistes et de leurs goûts pour la construction d’une idéologie unipolaire sur les peuples et sans équivalent. Cependant il est difficile de se faire une idée précise de cette automutilation si vous ne l’étudiez pas longuement. Par souci d’honnêteté intellectuelle et de curiosité je vous invite a étudier sérieusement tous les personnages, leur diatribes parfaitement articulées et les influences. Les méthodes sont les mêmes, les articles sionistes sont identiques et se suivent.

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