La halakha et le trafic d’organes des goyims

J’ai étudié le judéo-talmudisme pendant une longue période, mais les juïfistes ne cessent de me surprendre par leurs pratiques. Si vous parcourez ce blog, vous observerez des pratiques et des exemples des plus hauts en couleurs sur les juïfistes.

Les gangs de juïfistes dirigés par des rabbins organisent des trafics d’organes sur des femmes, des jeunes enfants, des adolescents ou des pères de famille. Vous connaissez tous l’histoire du rabbin rosenbaum et ses acolytes rabbins qui faisaient du trafic d’organes entre l’Amérique et la colonie sionistan. Puis le trafic d’organes entre la Roumanie et toujours cette même colonie mutante. Et voici qu’aujourd’hui on apprend qu’un trafic d’organe sur de jeunes enfants algériens par des rabbins juïfistes a été soigneusement structuré depuis des décennies. Sans oublier les attentats contre les innocents palestiniens et puis le vol de leurs organes par des docteurs talmudistes. D’ailleurs les victimes ne sont jamais rendus a leur famille ou voir, sans possibilité de laver la victime selon les règles islamiques.

Ceci car les goyim sont exclus du genre humain et considérés comme de simple animaux auxquels il ne faut donner que le stricte enseignement utile pour les asservir et les utiliser au mieux pour les juifs talmudistes selon la halakha (la loi juive).

Les familles, ainsi que les polices de plusieurs pays concernés témoignent de l’extrême violence que pratiquent les rabbins mais aussi des entrepreneurs de la mort sur des populations diverses. Les témoins affirment que les jeunes sont assassinés puis transportés dans les hôpitaux pour y être dépecés alors qu’ils ne sont pas encore mort (pour certains).

Bilal Ahmed, un enfant de 19 ans fut assassiné et emporté dans un lieu secret pour y être dépecé puis rendu a la famille fermé, comme l’on coud un vieux morceau de chiffon. Le trafic d’organe existent depuis des décennies, nous venons a peine de lire quelques exemples, mais des milliers de palestiniens sont assassinés dans l’intention de les dépecer.

En janvier 2002, un ministre du cabinet sioniste a implicitement reconnu que des organes extraits de corps de victimes palestiniennes avaient été utilisés pour des greffes sur des patients juifs à l’insu des familles des victimes palestiniennes. Ce n’est ni plus ni moins que du vol et des assassina volontaire pour greffer des usurpateurs.

Le ministre, Nessim Dahan, a déclaré en réponse à une question d’un membre arabe de la Knesset, qu’il ne pouvait ni démentir ni confirmer que des organes de jeunes gens et d’enfants palestiniens tués par l’armée israélienne avaient été extraits pour des transplantations ou pour des recherches scientifiques.

« Je ne pourrais pas affirmer avec certitude que ce genre de choses ne s’est pas produit. »