Islam : judasioniste un nouveau scandale pédophile en Algérie.

Jean Michel Baroche, l’ancien conseillé spécial de Madame Edith Cresson, ancienne premier ministre de François Mitterrand, a été pris en flagrant délit de carnage pédophile. D’origine judéosioniste, cette religion qui prône l’égalité, la fraternité, la pornographie et la pédophilie, Jean Michel Baroche, venant de Tunisie, un pays conquis par les sionistes, s’est installé à Annaba… une ville où il y a une forte concentration de judéosioniste.

Ce judéoioniste, se faisant passer pour un musulman, avec l’aide d’un faux imam spécialiste en pornosionisme, a réalisé des films pornos avec des mineurs. Les enquêteurs ont révélé l’implication de plusieurs notables amis de ce judéosioniste. Mais le principal protagoniste de cette affaire de pédophilie est bien JMB…

JMB est venu de Tunisie à Annaba pour profiter des jeunes vierges algériennes et musulmanes. Même dans les contrées les plus sécurisées, vous trouverez un sioniste au service du vice.

A ce propos, un site judéosioniste nous fait croire que JMB est musulman… on connaît les sionistes pour leur perversion : mensonge et pornographie… au nom de la liberté et de la tolérance façon sioniste, le juif sioniste JMB a transformé Annaba en une ville rose, comme à Toulouse.

Vous remarquerez sur ce site le nom francisé, comme celui de Baroche arabisé… remarquez leur haine transpirer dans leurs écrits et larmes d’antisémitisme etc.

Souvenons-nous de Polanski et de la jeune fille de 12 ans, de DSK à Lille, ou aux USA…. Souvenons-nous des écrits libéraux de Cohn Bendit.

Il écrit à ce propos : « Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d'autres gosses ?” Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. » Et ailleurs : « J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi. » (Le Grand Bazar, Éditions Belfond, 1975).

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