Les crucificateurs de Jésus sont de retour a Ghaza .

l'escroquerie amitié judeo-musulmane enfin debusqué

Les membres musulmans d'une association d'amitié judéo-musulmane française ont démissionné de cette instance, reprochant à leurs homologues juifs leur silence face aux "crimes de guerre" commis par l'entité sioniste contre la Bande de Gaza, et dont le bilan a dépassé les 1100 martyrs" et les 5000 blessés, en 22 jours.

Dans un communiqué exposant les motifs de cette décision, le coprésident de l'association, Djelloul Seddiki s'est déclaré choqué et consterné devant l'ampleur des massacres inqualifiables dont sont victimes les habitants de Gaza depuis plus de vingt jours par l'armée d'occupation israélienne....

Mais c'est surtout l'absence totale de condamnations de la part des représentants juifs au sein de l'AJMF que déplore les Musulmans qui ont tous quitté cette association, "qu'impliqueraient les objectifs du vivre ensemble et du rapprochement entre les communautés que se sont fixé les fondateurs de l'AJMF, depuis bientôt cinq ans" selon Seddiki, qui est aussi directeur de l'Institut théologique de la Grande Mosquée de Paris.

Selon lui, "ce silence ne peut être justifié que par une complicité à l'égard de ces crimes de guerre et qui rend les abc du dialogue et de l'amitié escomptés caducs" et "dépourvus de toute crédibilité".

Parmi les démissionnaires de l'association Amitié judéo-musulmane de France (AJMF), créée en 2004, pour "promouvoir la compréhension et l'amitié entre juifs et musulmans de France" figurent Dalil Boubakeur, recteur de la Grande Mosquée de Paris et ex-président du Conseil français du culte musulman (CFCM) principal organe représentatif de la communauté musulmane de France.

Autre action révoltée par les massacres commis par l'entité sioniste contre le peuple palestinien: à Toulouse, des inscriptions hostiles à Israël ont été découvertes vendredi matin dans plusieurs endroits de la ville située au sud-ouest de la France: " Israël nazi" et "sionistes nazis", ont été tracées sur le sol et sur un mur, près d'un magasin casher et du Parc des expositions de la ville, et sur un mur. A noter que ces graffitis ne comportent aucune insinuation antisémite, pourtant certains médias ne manquent pas l'occasion de brandir cette accusation traditionnelle, harcèlement oblige.

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