Pourquoi il faut jeter la halakha (loi juive)
Ceux parmi les plus lucides militent contre la halakha se sont parfois demandé pourquoi la loi talmudique juive posait problème alors que les sociétés occidentales modernes ont depuis longtemps observé une Loi plus Juste tel La Chari’a (La Loi Islamique).
En fait, ce fut l’un des principaux points sur lequel s’appuyaient ceux qui soutenaient que la halakha devait devenir par obligation loi référentielle de la législation occidentale.
La réponse est simple : une différence fondamentale sépare les deux. Le judaïsme est une religion dominatrice, élitiste mais l’islam ne l’est pas. Contrairement a l’islam, le judéo-talmudisme est considéré être une religion de sang, racialiste et ne peut donc être divulgué aux goyims animaux. Les juïfistes ambitionnent d’appliquer un régime autocratique judéo-talmudiste mondiale, tandis que les musulmans traditionalistes ne désirs aucune domination avec un gouvernement mondiale du style américain ou sous la forme européenne.
D’ailleurs les seuls a faire l’éloge d’un gouvernement mondiale sont les juïfistes. Cela est fait avec malice, comme par exemple exiger une globalisation mondiale, ou une économie transnationale dirigée par quelques criminels guerriers.
Deux exemples a prendre en considération, en France, qui démontrent l’impérialisme criminelle de la loi juive.
Le premier est les erouvs qui s’implantent dans le cœur de paris avec les subventions publiques. Ce système d’érouv est une manière de prohiber les autres populations d’un lieu, de les rejeter et surtout de les tenir à l’ écart en raison de leur impureté : Les animaux ne peuvent communiquer, selon la loi juive talmudique, avec les élus de sang sous peine de mort.
L’erouv permet donc de porter le judéo-talmudisme au dessus de la loi occidentale. Mais ceci n’existe pas seulement en France : en Russie, en Hongrie, en Lituanie, en Angleterre, au canada… par exemple a Outremont, dans un quartier de Montréal. C’est en fait une clôture établie autour des juifs talmudistes pour les protéger des goyims impures. Sachez que l’erouv est interdit aux goyim impures.
Un autre exemple de loi juive imposée en occident est le casher ordonné a toutes les populations dans les grandes surfaces comme carrefour. Les signes sont cachés dans les écrits et vendu a tous mais seuls les avertis y verront le caractère casher par des sigles comme : U, K, MK, COR, AKC… contrairement aux juifs, les musulmans ne cachent pas leur halal ; vous verrez en arabes HALAL ou le cachet d’ AVS ou autres.
Au Etats unis, au canada et en Angleterre, une population de 2% impose donc le caractère talmudique a toutes les autres populations, qu’elles soient juives ou non, pratiquantes ou non. C’est a dire que la population non juive finance et participe financièrement aux produits casher sans leur consentement. C’est ainsi que la loi juive, la halakha permet aux juifs talmudistes de dissimuler leurs méthodes comme il est peu connu que les erouvs sont spécifiquement organisés par l’administration du pays.
Il est évident que les non-initiés ignorent presque tout des lois de la Casherout et qu'ils sont totalement à la merci des marketings. Ces derniers peuvent affirmer ce que bon leur semble et imposer à leurs "clients" un label casher là où aucune règle religieuse ne l'exige. Lubomyr Prytulak, un Canadien d'origine ukrainienne, donne une liste aussi impressionnante qu'incomplète de ces abus pratiqués en marge d'une méthode qui est en soi déjà abusive. On fait ainsi certifier comme casher l'eau minérale, l'huile d'olive, la vodka, le sel, la lessive, les sacs en plastique, etc. Et le consommateur paie et finance des produits qui ne lui sont pas destinés.
Il existe d’autres exemples de la domination juive, et de la halakha (loi juive) en occident tel l’usure. Avant la fameuse « émancipation des juifs » l’usure n’existait pas ou pour des petites sommes. La halakha autorise l’usure et sans compassion de l’usurier. Aujourd’hui, les taxes se suivent selon la doctrine talmudique ou les goyim doivent être taxé pour ne pas créer une trop grande influence. A une époque, l’occident interdisait l’usure comme la chari’a l’interdit.
Le judéo-talmudisme libérale est beaucoup plus néfaste. Il permet le soi disant libéralisme, la liberté de conscience, mais en réalité, il provoque les passions, pousse a la perversion, et la division de la cellule familiale. Ils ont réussi en occident, et désirs faire de même pour la femme musulmane et pour ce faire, ils s’attaquent aux femmes les plus pieuses, les femmes voilés comme ils l’ont fait pour les nones qu’ils salissaient en les montrant dans des écrits et des images perverses.
L’essentiel est que le goyim se comporte, conformément a la loi juive, comme un animal : la sodomie, les errances, les infidélités, la prostitution, les pornographies… c’est cela la liberté de simone veil, et d’autres juifs sionistes.
Dans la loi juive, il est par exemple autorisé d’avoir plus d’une centaine de femme sans divorcer d’elles. Il est permis de répudier la femme sans le divorce et donc sans qu’elle puisse se libérer. La femme non divorcée n’est pas libre et ne peut donc ni travailler, ni se marier, ni voyager sans le chef. Ce dernier lui est autorisé d’avoir donc des dizaines de femmes, sans pour cela donner a une seule d’entre elles l’espoir de concevoir une famille. Des maitresses…
C’est notre statut de goyim qui commence à peser.
En fait, ce fut l’un des principaux points sur lequel s’appuyaient ceux qui soutenaient que la halakha devait devenir par obligation loi référentielle de la législation occidentale.
La réponse est simple : une différence fondamentale sépare les deux. Le judaïsme est une religion dominatrice, élitiste mais l’islam ne l’est pas. Contrairement a l’islam, le judéo-talmudisme est considéré être une religion de sang, racialiste et ne peut donc être divulgué aux goyims animaux. Les juïfistes ambitionnent d’appliquer un régime autocratique judéo-talmudiste mondiale, tandis que les musulmans traditionalistes ne désirs aucune domination avec un gouvernement mondiale du style américain ou sous la forme européenne.
D’ailleurs les seuls a faire l’éloge d’un gouvernement mondiale sont les juïfistes. Cela est fait avec malice, comme par exemple exiger une globalisation mondiale, ou une économie transnationale dirigée par quelques criminels guerriers.
Deux exemples a prendre en considération, en France, qui démontrent l’impérialisme criminelle de la loi juive.
Le premier est les erouvs qui s’implantent dans le cœur de paris avec les subventions publiques. Ce système d’érouv est une manière de prohiber les autres populations d’un lieu, de les rejeter et surtout de les tenir à l’ écart en raison de leur impureté : Les animaux ne peuvent communiquer, selon la loi juive talmudique, avec les élus de sang sous peine de mort.
L’erouv permet donc de porter le judéo-talmudisme au dessus de la loi occidentale. Mais ceci n’existe pas seulement en France : en Russie, en Hongrie, en Lituanie, en Angleterre, au canada… par exemple a Outremont, dans un quartier de Montréal. C’est en fait une clôture établie autour des juifs talmudistes pour les protéger des goyims impures. Sachez que l’erouv est interdit aux goyim impures.
Un autre exemple de loi juive imposée en occident est le casher ordonné a toutes les populations dans les grandes surfaces comme carrefour. Les signes sont cachés dans les écrits et vendu a tous mais seuls les avertis y verront le caractère casher par des sigles comme : U, K, MK, COR, AKC… contrairement aux juifs, les musulmans ne cachent pas leur halal ; vous verrez en arabes HALAL ou le cachet d’ AVS ou autres.
Au Etats unis, au canada et en Angleterre, une population de 2% impose donc le caractère talmudique a toutes les autres populations, qu’elles soient juives ou non, pratiquantes ou non. C’est a dire que la population non juive finance et participe financièrement aux produits casher sans leur consentement. C’est ainsi que la loi juive, la halakha permet aux juifs talmudistes de dissimuler leurs méthodes comme il est peu connu que les erouvs sont spécifiquement organisés par l’administration du pays.
Il est évident que les non-initiés ignorent presque tout des lois de la Casherout et qu'ils sont totalement à la merci des marketings. Ces derniers peuvent affirmer ce que bon leur semble et imposer à leurs "clients" un label casher là où aucune règle religieuse ne l'exige. Lubomyr Prytulak, un Canadien d'origine ukrainienne, donne une liste aussi impressionnante qu'incomplète de ces abus pratiqués en marge d'une méthode qui est en soi déjà abusive. On fait ainsi certifier comme casher l'eau minérale, l'huile d'olive, la vodka, le sel, la lessive, les sacs en plastique, etc. Et le consommateur paie et finance des produits qui ne lui sont pas destinés.
Il existe d’autres exemples de la domination juive, et de la halakha (loi juive) en occident tel l’usure. Avant la fameuse « émancipation des juifs » l’usure n’existait pas ou pour des petites sommes. La halakha autorise l’usure et sans compassion de l’usurier. Aujourd’hui, les taxes se suivent selon la doctrine talmudique ou les goyim doivent être taxé pour ne pas créer une trop grande influence. A une époque, l’occident interdisait l’usure comme la chari’a l’interdit.
Le judéo-talmudisme libérale est beaucoup plus néfaste. Il permet le soi disant libéralisme, la liberté de conscience, mais en réalité, il provoque les passions, pousse a la perversion, et la division de la cellule familiale. Ils ont réussi en occident, et désirs faire de même pour la femme musulmane et pour ce faire, ils s’attaquent aux femmes les plus pieuses, les femmes voilés comme ils l’ont fait pour les nones qu’ils salissaient en les montrant dans des écrits et des images perverses.
L’essentiel est que le goyim se comporte, conformément a la loi juive, comme un animal : la sodomie, les errances, les infidélités, la prostitution, les pornographies… c’est cela la liberté de simone veil, et d’autres juifs sionistes.
Dans la loi juive, il est par exemple autorisé d’avoir plus d’une centaine de femme sans divorcer d’elles. Il est permis de répudier la femme sans le divorce et donc sans qu’elle puisse se libérer. La femme non divorcée n’est pas libre et ne peut donc ni travailler, ni se marier, ni voyager sans le chef. Ce dernier lui est autorisé d’avoir donc des dizaines de femmes, sans pour cela donner a une seule d’entre elles l’espoir de concevoir une famille. Des maitresses…
C’est notre statut de goyim qui commence à peser.
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