Les crucificateurs de Jésus sont de retour a Ghaza .

Les affaires sociales d’AL Shabab

Les moudjahidines al Shabab ont interdit aux ONG de distribuer les aides alimentaires et qu’ils allaient élargir l’interdiction a tout le Programme Alimentaire Mondial de toute la somalie. Les responsables ont accusé le PAM de favoriser la dépendance alimentaire pour manipuler la population et surtout la maintenir dans un état de stress dépendant et de peur.

D’autre part, cette initiative permet aux milliers de paysan de vendre sur le marché intérieur toute leur production. Ils ont aussi interdit aux sous-traitants de favoriser le PAM aux dépens de l’agriculture locale.

En réalité, la population des localités du pays s’étaient pleins des produits infects ou de l’expiration des dates ; d’autres parts les agriculteurs ont aussi accusé le PAM d’utiliser des denrées étrangères au lieu de participer au développement des produits locaux.

Le mouvement de résistance Al Shabab, très implanté dans la société somalienne, a accusé le Pam de mener une guerre politique et stratégique a travers son programme alimentaire. Certains somaliens ont été frappés de maladies après avoir usé des aliments du PAM.

La propagande avait lancé une alerte sur une possible crise alimentaire en somalie sans aucune preuve. Cependant, les agriculteurs affirment que leurs denrées pourrissent sur place en raison de l’afflux des produits occidentaux débarqués par le PAM.

De plus, Al Shabab avait déjà averti et suspendu certaines ONG en somalie, cette fois ci, il a ouvertement accusé l’ONG PAM de travailler pour les renseignements occidentaux en échange de quelques denrées.

D’autres parts, une réunion importante a eu lieu dans la plus grande discrétion concernant les nouvelles menaces que représentent les nouvelles manœuvres. Cela concerne donc la nouvelle attaque venant du Kenya.

Après cela, le porte parole a déclaré : « nous ne projetons pas de faire la guerre contre le Kenya, nous sommes plus concentrés la sécurité de notre pays. Mais si nous sommes attaqués, alors nous devrons répondre ».

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